VAN avant impôt 5% de 1,07 milliard de dollars canadiens, VAN après impôt 5% de 588 millions de dollars canadiens.
TRI avant impôt de 24,9%, TRI après impôt de 18,0%.
Production annuelle moyenne d’or de 233 koz et AISC de 976 USD sur une période de 11 ans.
Le 7 septembre 2023 – Vancouver, Canada – First Mining Gold Corp. (” First Mining ” ou la ” Société “) (TSX : FF) (OTCQX : FFMGF) (FRANKFURT : FMG) a le plaisir d’annoncer les résultats positifs d’une évaluation économique préliminaire (” EEP “) réalisée pour son projet aurifère Duparquet (le ” Projet ” ou ” Duparquet “), détenu à 100 % et situé dans la région de l’Abitibi, au Québec, au Canada. Les résultats de l’EEP appuient une exploitation minière à ciel ouvert et souterraine de 15 000 tonnes par jour sur une durée de vie de la mine de 11 ans. L’EEP ne prend en compte que le gisement d’or de Duparquet, situé sur les blocs de claims Beattie, Donchester, Central Duparquet et Dumico, et n’inclut pas les gisements Pitt Gold et Duquesne (voir la section sur l’estimation des ressources minérales).
Points forts de l’EEP
- VAN avant impôt de 1,07 milliard de dollars canadiens5% et VAN après impôt de 588 millions de dollars canadiens5% à 1 800 $US/oz d’or (” Au “) ;
- TRI de 24,9 % avant impôts ; TRI de 18,0 % après impôts à 1 800 USD/oz Au ;
- Production annuelle d’or récupéré sur la durée de vie de la mine (“LOM”) de 233 koz ;
- Total de 2,5 Moz d’or récupéré sur une durée de vie de la mine de 11 ans ;
- Amortissement avant impôt de 3,8 ans ; amortissement après impôt de 4,8 ans ;
- Les coûts d’investissement initiaux sont estimés à 706 millions de dollars canadiens ; les coûts d’investissement de maintien et de développement souterrain sont estimés à 738 millions de dollars canadiens ;
- Coût total annuel moyen de la LOM de 751 $US/oz(1) ; coûts de maintien moyens annuels de la LOM de 976 $US/oz.(2).
*Note : Les paramètres du scénario de référence supposent un prix de l’or de 1 800 $US/oz et un taux de change ($CA/$US) de 1,33. Toutes les devises sont exprimées en dollars canadiens, sauf indication contraire. La VAN est calculée à partir du début de la construction et exclut tous les coûts de pré-construction.
(1) Le total des coûts décaissés comprend les coûts d’extraction, les coûts de traitement, les frais généraux au niveau de la mine, les frais de traitement et d’affinage et les redevances.
(2) L’AISC comprend les coûts totaux en espèces plus les investissements de maintien, les investissements de développement et les coûts de fermeture.
« Cette EEP démontre le solide potentiel économique du projet aurifère Duparquet, » a déclaré Dan Wilton, chef de la direction de First Mining. « Le profil de production de plus de 200 koz par année, le profil attrayant des coûts d’investissement et d’exploitation et l’emplacement stratégique du gisement au cœur de la ceinture aurifère de l’Abitibi contribuent tous à faire reconnaître Duparquet comme l’un des projets de développement les plus significatifs au Canada. Nous sommes également heureux d’avoir réalisé une EEP aussi solide moins d’un an après avoir consolidé notre participation dans le projet. Il est important de noter que le projet aurifère de Duparquet représente une occasion unique de résoudre les problèmes environnementaux hérités de l’exploitation minière historique, tout en offrant une opportunité de développement économique important pour les communautés locales et autochtones autour du projet. Nous nous réjouissons de continuer à travailler avec les autorités de réglementation, la municipalité de Duparquet et d’autres communautés locales et autochtones pour faire avancer cette voie parallèle de la gestion de l’environnement et du développement économique. »
Cette EEP pour le projet aurifère Duparquet a été préparée par G Mining Services Inc. de Montréal, Québec, conformément au Règlement 43-101 sur l’information concernant les projets miniers (« Règlement 43-101 »), et un rapport technique pour l’EEP sera déposé par la société sur SEDAR+ dans les 45 jours suivant ce communiqué de presse.
Vue d’ensemble de l’EEP
Le projet aurifère Duparquet, situé dans la région de l’Abitibi au Québec, Canada, est l’un des plus grands projets aurifères non développés en Amérique du Nord. Le projet est situé immédiatement au nord de la ville de Duparquet, à environ 50 kilomètres au nord-ouest de Rouyn Noranda, au Québec, un important centre de services miniers qui abrite la seule fonderie de cuivre encore en activité au Canada. Duparquet contient actuellement 3,4 millions d’onces d’or dans la catégorie des ressources minérales indiquées et 2,7 millions d’onces d’or dans la catégorie des ressources minérales présumées, comme indiqué dans le tableau 5 de la section sur l’estimation des ressources minérales. L’EEP évalue la récupération de l’or à partir d’une exploitation minière à ciel ouvert et souterraine de 15 000 tonnes par jour (« tpj »), avec une usine de traitement comprenant le concassage, le broyage et la flottation, produisant un concentré destiné à la vente.
Sensibilités économiques
Les aspects économiques et les flux de trésorerie du projet sont très sensibles aux variations du prix de l’or.
Estimation des ressources minérales
En septembre 2022, l’estimation des ressources minérales (” ERM “) du projet aurifère Duparquet a été mise à jour par InnovExplo Inc. conformément au Règlement 43-101 (voir le communiqué de presse du 12 septembre 2022 pour plus de détails). Le projet aurifère Duparquet contient 3,44 millions d’onces d’or dans la catégorie mesurée et indiquée, à une teneur de 1,55 g/t Au, et 1,6 million d’onces d’or supplémentaires dans la catégorie présumée, à une teneur de 1,36 g/t Au (voir le tableau 3).
En août 2023, de nouvelles estimations actualisées des ressources minérales ont été réalisées sur les projets Pitt Gold et Duquesne, détenus à 100 % par First Mining, et ont ajouté 1,05 million d’onces d’or à une teneur de 2,32 g/t Au dans la catégorie présumée (voir le tableau 4), qui feront désormais partie du projet aurifère Duparquet, plus vaste et consolidé. Suite à la mise à jour de l’estimation des ressources minérales à Pitt Gold et Duquesne, le projet Duparquet consolidé contient maintenant 3,44 millions d’onces d’or dans la catégorie mesurée et indiquée, à une teneur de 1,55 g/t Au, et 2,68 millions d’onces d’or supplémentaires dans la catégorie présumée, à une teneur de 1,68 g/t Au.
La base de données utilisée pour l’ERM de Duparquet contient 904 trous totalisant 270 119 m et 173 831 intervalles échantillonnés. La zone de ressources a une longueur de 4,5 km en direction est-ouest, une largeur d’environ 1 km et une extension verticale de 1 050 m sous la surface. Un total de 60 zones minéralisées ont été créées pour le gisement de Duparquet.
La base de données utilisée pour l’ERM de Duquesne contient 1 011 trous de forage souterrains pour un total de 51 957,43 m et 393 trous de forage au diamant en surface (“DDH”) pour un total de 103 888,19 m. Les intervalles DDH utilisés pour l’interprétation contiennent 66 411 analyses provenant de 1404 trous de forage et de canaux de surface (71 034,71 m de carotte). Les intervalles des sondages utilisés pour l’interprétation contiennent 66 411 analyses provenant des 1404 sondages et des rainures de surface (71 034,71 m de carottes). Un total de 397 zones minéralisées ont été créées pour le gisement de Duquesne. L’épaisseur moyenne des zones minéralisées dans le gisement varie entre 0,69 m et 4,28 m avec une épaisseur moyenne interprétée de 1,89 m.
La base de données utilisée pour l’ERM de Pitt Gold contient 163 trous de forage au diamant de surface totalisant 70 364,67m. Un total de 119 zones minéralisées ont été créées pour le gisement Pitt Gold. L’épaisseur moyenne des zones minéralisées dans le gisement varie entre 0,71 m et 3,03 m avec une épaisseur moyenne interprétée de 1,56 m.
Coûts en capital
L’estimation des coûts d’investissement pour l’exploitation à ciel ouvert proposée dans l’EEP est basée sur les taux de production prévus de l’usine, ainsi que sur un examen d’exploitations aurifères à ciel ouvert de taille similaire.
Coûts du capital minier
On a supposé que les activités d’extraction à ciel ouvert pour le projet seraient entreprises par une flotte financée par l’équipement. Les coûts d’investissement minier ont été estimés sur la base d’un programme détaillé d’équipement correspondant au programme de production minière. Le capital minier initial total a été estimé à 102 millions de dollars canadiens, y compris le décapage capitalisé et l’équipement. Les dépenses d’investissement pour l’exploitation souterraine, qui commence à l’année 1 de l’exploitation à ciel ouvert, s’élèvent à 404 millions de dollars canadiens, dont 255 millions de dollars canadiens sont attribués au développement de la mine.
Coûts d’investissement liés à la transformation
L’usine de traitement a été conçue en utilisant des unités de traitement conventionnelles. Elle traitera nominalement 15 000 tpj ou 679 tonnes sèches/heure sur la base d’une disponibilité de 92%. La conception de l’usine de concassage primaire est basée sur une disponibilité de 75 %. L’usine fonctionnera en deux équipes par jour, 365 jours par an, et produira un concentré d’or à haute teneur destiné à la vente aux fonderies.
Les coûts d’investissement initiaux pour l’installation de traitement ont été estimés à 190 millions de dollars canadiens, hors imprévus. Aucune reconstruction ou expansion majeure de l’usine n’a été envisagée au cours de la LOM, les investissements de maintien ayant été fixés pour maintenir l’équipement en état de fonctionnement.
Coûts de fonctionnement
Coûts d’exploitation minière
L’étude d’impact sur l’environnement prévoit une exploitation à ciel ouvert et souterraine par une flotte financée par l’équipement. Un coût minier unitaire moyen de 3,16 dollars canadiens par tonne de matériau extrait de la mine à ciel ouvert a été utilisé dans l’étude économique. L’estimation des coûts a été élaborée à partir des premiers principes, avec des profils de transport détaillés, et est basée sur l’expérience d’exploitations à ciel ouvert de taille similaire et sur les conditions locales. Les coûts d’extraction à ciel ouvert tiennent compte des variations des profils de transport selon les mois et les années et des besoins variables en équipement nécessaires pour assurer la production de l’usine.
Les coûts d’exploitation souterraine ont également été estimés en utilisant les premiers principes et les devis des fournisseurs pour l’équipement, les consommables et le travail des entrepreneurs, et sont basés sur l’expérience d’exploitations souterraines de taille et d’environnement similaires. Les coûts d’exploitation souterraine de 44,26 $ par tonne de matériel minéralisé extrait comprennent 2 257 $ par mètre de développement OPEX. Un coût de développement de 16,64 $ par tonne est nécessaire pour maintenir la production et est exclu des coûts d’exploitation.
Frais de traitement
Un coût moyen de 10,59 dollars canadiens par tonne de matériau traité a été utilisé dans l’EEP, sur la base du schéma de traitement sélectionné. Ce coût comprend la manutention des résidus, la main-d’œuvre, les consommables, la maintenance et les fournitures. Un coût de l’électricité de 0,0524 $CAN/kWh a été supposé.
Exploitation minière
L’exploitation à ciel ouvert commencerait la première année, en même temps que le développement souterrain. Sur la durée de vie de la mine, la mine à ciel ouvert fournira en moyenne 10 400 tpj de matériaux minéralisés à l’usine de traitement. La production souterraine devrait commencer au cours de la deuxième année, avec un taux de production souterraine moyen de 3 500 tpj. Sur une durée de vie de 11 ans, 59,7 Mt de matériaux minéralisés (y compris la préproduction) seront extraits, dont 4,1 Mt de résidus historiques. Le plan actuel de la durée de vie de la mine se concentre sur l’obtention de taux de production constants de l’alimentation de traitement, sur l’extraction de matériaux à plus haute teneur au début du calendrier et sur l’équilibre entre les ratios de teneur et de bande.
Méthodes d’exploitation minière
Le projet Duparquet est prévu comme une combinaison de mine à ciel ouvert conventionnelle et de mine souterraine à long trou (transversal – longitudinal – ascendant).
L’exploitation à ciel ouvert se fera à l’aide d’équipements diesel, notamment des engins de forage et des camions de transport couplés à des pelles hydrauliques. Le projet se compose de sept (7) fosses, la fosse 1 comportant trois (3) phases. La durée de vie du projet est de 11 ans, y compris une période de pré-production et de construction au cours de laquelle des déchets seront extraits pour la construction (barrages, routes, etc.) et du minéral minéralisé sera stocké avant la mise en service de l’usine de traitement.
Les opérations de forage et d’extraction se dérouleront sur un banc de 10 m de hauteur. L’équipement de production primaire comprend des pelles hydrauliques diesel de 12 m³ couplées à des camions Drammis de 65 tonnes pour le minéral minéralisé et des pelles de production hydrauliques diesel de 22 m³ couplées à des camions miniers tout-terrain de 200 tonnes pour les déchets. Une exploitation minière par le propriétaire est prévue, le décapage des morts-terrains, les activités de forage topographique et la fourniture d’explosifs étant confiés à des sous-traitants.
Pour la mine souterraine, la méthode d’exploitation privilégiée est l’abattage de longs trous, à la fois transversaux et longitudinaux, avec un enrochement cimenté (“CRF”). Le minéral minéralisé sera extrait des chantiers à l’aide d’un chargeur-transporteur-basculeur (“LHD”) de grande capacité de production. Les principales descentes de la mine souterraine seront accessibles depuis la surface par un portail unique situé au nord du site.
En plus des mines à ciel ouvert et souterraines, une partie des résidus historiques sera transportée et traitée à l’usine. Un maximum de 750 000 tonnes de matériaux sera traité chaque année.
Essais métallurgiques
L’EEP tient compte des récupérations d’or résultant des nombreux essais métallurgiques réalisés par Clifton Star Resources Inc. (” Clifton Star “) entre 2012 et 2014. Ces essais ont consisté en plusieurs séries de tests de concentration par flottation à l’échelle du banc d’essai et de l’usine pilote. En outre, Clifton Star a réalisé des essais métallurgiques approfondis sur le traitement ultérieur des concentrés sulfurés par broyage fin et lixiviation alcaline, bio-oxydation et oxydation sous pression, mais ces essais n’ont pas été pris en compte dans le schéma de flux de l’EEP.
Sur la base des essais effectués et des études de compromis réalisées dans le cadre de l’EEP, le projet a été conçu avec un schéma de traitement qui comprend un circuit de broyage et une flottation plus grossière et plus propre pour produire un concentré d’or à haute teneur destiné à la vente. Ce schéma est basé sur un broyage primaire de 80 % (” P80 “) de 150 microns (” µm “) avant la flottation. Les récupérations d’or dans le concentré de flottation prévues et utilisées pour l’analyse économique présentée dans l’EEP sont de 89,5 % pour un concentré d’une teneur d’environ 36 g/t Au. First Mining prévoit d’entreprendre des essais métallurgiques de suivi afin d’étudier d’autres possibilités d’augmenter encore les récupérations et estime que cela reste un domaine d’intérêt important pour améliorer encore l’économie du projet.
Traitement
La conception préliminaire de l’usine de traitement du projet Duparquet est basée sur un schéma métallurgique robuste permettant de traiter les matériaux aurifères pour produire un concentré d’or. Le schéma est basé sur des essais métallurgiques antérieurs réalisés par Clifton Star, sur les normes de l’industrie et sur des opérations unitaires conventionnelles.
L’usine de traitement est conçue pour traiter nominalement 15 000 tpj de matériaux minéralisés et retraiter les résidus existants. Le schéma de traitement comprendra un concassage primaire, un broyage SAG et un broyage à boulets, des circuits de flottation de l’or brut et de l’or propre, la déshydratation du concentré et des installations de chargement. Les résidus de flottation seront déshydratés dans un épaississeur afin de produire une boue de résidus qui sera stockée sur le site. L’usine de traitement comprendra les réactifs, les systèmes d’air et les services publics nécessaires à l’exploitation.
Infrastructure du site
Le projet est situé immédiatement au nord de la ville de Duparquet et une grande partie de l’infrastructure du site est optimisée pour utiliser l’infrastructure existante dans la ville de Duparquet. Aucun camp n’est prévu sur le site et les bureaux administratifs, l’atelier de réparation des véhicules légers et l’entrepôt, entre autres, sont considérés comme hors site. Les bâtiments d’exploitation, qui comprendront le bureau de la sécurité, les bureaux du personnel technique, les salles de conférence, un vestiaire, une infirmerie et une salle à manger, seront situés à l’entrée du site. Un atelier temporaire sur le site est inclus dans le capital initial, l’atelier permanent pour les camions étant prévu pour l’année 4. Le laboratoire d’analyse, le stockage de carburant (200 000 litres) et le magasin d’explosifs, entre autres infrastructures essentielles, sont également envisagés sur le site.
L’infrastructure et la plate-forme de l’usine de traitement seront situées sur le côté nord des puits. Les stocks de stériles seront situés de chaque côté des puits. Une route de transport est prévue pour relier les puits aux stocks de déchets, aux stocks de morts-terrains, à l’usine de traitement et à l’installation de stockage des résidus.
Installation de stockage des résidus
La conception de l’installation de stockage des résidus (“TSF”) tirera parti des conditions topographiques et terrestres existantes dans la partie orientale du site du projet. Le TSF aura une capacité suffisante pour 34,5 millions de mètres cubes de résidus. Un bassin de dépôt de résidus sera créé en construisant un barrage principal à l’extrémité aval de la vallée et les barrages de résidus seront construits en plusieurs phases afin de minimiser le capital initial. Les résidus de l’usine de traitement seront pompés vers le TSF par un pipeline de 4 km et seront épaissis avant d’être déposés. Le système d’eau de récupération consistera en une barge de récupération équipée de deux pompes d’eau de récupération.
Infrastructure électrique
Environ 22,7 MW de demande électrique seront fournis par une nouvelle ligne de transmission aérienne de 120 kV, construite pour se connecter à la ligne de 120 kV du réseau provincial à environ 15 km au sud-est dans la sous-station de Reneault Hydro-Québec. Le réseau de distribution principal est alimenté à 13,8 kV à partir de la sous-station principale où sont installés deux transformateurs de puissance entièrement redondants. La distribution à l’équipement se fait à 4,16 kV et 600V.
Environnement et Communauté
L’EEP a pris en compte et intégré la possibilité de tirer parti du développement du projet aurifère de Duparquet en remettant en état les sites contaminés, notamment en retirant et en retraitant plus de 4,1 Mt de résidus miniers historiques non confinés. Avec de telles mesures incorporées dans le plan de mine de l’EEP, en combinaison avec la capacité du projet à collecter et à traiter les eaux souterraines historiquement affectées par l’excavation et l’assèchement de la mine à ciel ouvert, le projet est en mesure de fournir des avantages environnementaux et des avantages socio-économiques par le biais de l’emploi, des contrats et des revenus pour la municipalité de Duparquet. Il est prévu d’affiner et d’optimiser l’EEP en fonction des consultations et des contributions que recevront le gouvernement, la municipalité de Duparquet et d’autres parties prenantes locales et régionales, ainsi que la communauté locale des Premières nations.
Depuis l’acquisition du projet aurifère Duparquet en septembre 2022, First Mining a donné la priorité à la rencontre des gens, des communautés et des représentants du gouvernement sur la planification du projet d’une manière ouverte et transparente. First Mining a publié le site Web de Mines d’Or Duparquet pour partager l’information sur le projet et a récemment terminé les rénovations nécessaires à l’ouverture d’un bureau de relations communautaires de First Mining à Duparquet. Le projet offre la possibilité de traiter les aspects environnementaux historiques sur le site du projet afin d’améliorer la durabilité à long terme, l’activité économique et de soutenir la planification et le développement municipaux durables.
La municipalité de Duparquet se trouve dans la région de l’Abitibi-Témiscamingue qui a été façonnée principalement par des industries basées sur les ressources naturelles, y compris l’exploitation minière et la foresterie, où l’industrie minière représente 1 emploi sur 7 dans la région.
Possibilités d’amélioration des projets
L’EEP a identifié plusieurs possibilités d’améliorer la rentabilité du projet aurifère Duparquet, qui seront étudiées au fur et à mesure que First Mining poursuivra l’avancement du projet. Ces possibilités sont les suivantes :
- Forage d’exploration – possibilité d’accroître les ressources par des forages régionaux le long de 19 km de la propriété de First Mining, le long de la zone Destor-Porcupine. First Mining est en train d’achever un premier programme de forage de 5 000 mètres sur le projet et a l’intention de lancer un programme de forage de phase II plus tard en 2023.
- Forage intercalaire – possibilité d’accroître les ressources et d’augmenter le profil des teneurs du projet.
- Minéralisation d’argent – possibilité d’incorporer la minéralisation d’argent dans les données économiques. L’EEP ne prévoit pas d’onces d’argent payables.
- Études techniques supplémentaires – possibilité d’optimiser l’économie du projet en réduisant les investissements de maintien, les investissements de développement et les coûts d’exploitation
- Incorporation de nouvelles ressources minérales – possibilité d’améliorer la rentabilité du projet en incorporant dans le plan de mine de nouvelles estimations des ressources minérales des gisements voisins de Pitt et de Duquesne, qui font partie du projet aurifère plus vaste de Duparquet.
- Consolidation régionale – possibilité de consolider les gisements réfractaires dans la région afin de créer une installation de traitement centrale pour traiter la matière première provenant d’autres mines régionales.
- Travaux d’essai sur les résidus historiques – possibilité d’optimiser le mélange des anciens résidus par le biais du processus grâce à des travaux d’essai supplémentaires.
- Essais métallurgiques – possibilité d’améliorer les taux de récupération métallurgique et la teneur des concentrés grâce à des essais métallurgiques supplémentaires.
- Gestion de l’eau – possibilité d’optimiser le traitement de l’eau et l’estimation des services grâce à des études supplémentaires
- Résidus – possibilité d’optimiser les résidus et les estimations de conception et de coût grâce à des études supplémentaires
- Infrastructure – possibilité d’optimiser l’infrastructure de la ville dans la conception du projet
Personnes qualifiées et rapport technique NI 43-101
L’EEP du projet aurifère Duparquet résumée dans le présent communiqué a été préparée par G Mining Services Inc. et sera incorporée dans un rapport technique NI 43-101 qui sera disponible sous le profil SEDAR de la société à www.sedarplus.ca , et sur le site Web de la société, dans les 45 jours suivant la publication du présent communiqué. L’affiliation et les domaines de responsabilité de chacune des personnes qualifiées impliquées dans la préparation de l’EEP, sur laquelle le rapport technique sera basé, sont les suivants :
Chaque personne qualifiée a revu et approuvé le contenu de ce communiqué de presse.
La société met en garde contre le fait que les résultats de l’EEP sont préliminaires par nature et comprennent des ressources minérales présumées qui sont considérées comme trop spéculatives d’un point de vue géologique pour que l’on puisse leur appliquer les considérations économiques qui leur permettraient d’être classées dans la catégorie des réserves minérales. Il n’y a aucune certitude que les résultats de l’EEP se concrétiseront.
Vérification des données
Les personnes qualifiées responsables de la préparation de l’EEP et du rapport technique y afférent ont vérifié les données divulguées dans le présent communiqué de presse, y compris les données d’échantillonnage, d’analyse et d’essai qui sous-tendent les informations contenues dans le présent communiqué de presse. Les études géologiques, d’ingénierie minière et métallurgiques comprenaient, entre autres, l’examen de la cartographie, des carottes de forage et le recalage des trous de forage existants, l’examen des études géotechniques et hydrologiques, les facteurs environnementaux et communautaires, le développement du plan de durée de vie de la mine, les coûts d’investissement et d’exploitation, le transport, la fiscalité et les redevances, ainsi que l’examen des travaux d’essais métallurgiques existants. De l’avis des personnes qualifiées, les données, les hypothèses et les paramètres utilisés pour estimer les ressources minérales et les réserves minérales, le modèle métallurgique, l’analyse économique et l’EEP sont suffisamment fiables à ces fins. Le rapport technique relatif à l’EEP, lorsqu’il sera déposé, contiendra des informations plus détaillées concernant les responsabilités individuelles, l’assurance et le contrôle de la qualité associés, et d’autres questions relatives à la vérification des données, ainsi que les hypothèses, paramètres et méthodes clés utilisés par la société.
Mesures financières non conformes aux IFRS
La société a inclus certaines mesures financières non-IFRS dans ce communiqué de presse, telles que les coûts d’investissement initiaux, les coûts totaux en numéraire et les coûts de production tout compris, qui ne sont pas des mesures reconnues par les IFRS et qui n’ont pas de signification standardisée prescrite par les IFRS. Par conséquent, ces mesures peuvent ne pas être comparables à des mesures similaires publiées par d’autres sociétés. Chacune de ces mesures est destinée à fournir des informations supplémentaires à l’utilisateur et ne doit pas être considérée isolément ou comme un substitut aux mesures préparées conformément aux IFRS.
Certaines mesures financières non-IFRS utilisées dans ce communiqué de presse et communes à l’industrie minière aurifère sont définies ci-dessous.
Total des coûts décaissés et total des coûts décaissés par once d’or
Le total des coûts décaissés reflète le coût de production. Le total des coûts décaissés indiqué dans l’EEP comprend les coûts miniers, les coûts de traitement, de gestion de l’eau et des déchets, les frais généraux et administratifs sur le site, les coûts de traitement et d’affinage, les redevances et les crédits de flux d’argent. Le total des coûts décaissés par once est calculé en divisant le total des coûts décaissés par le nombre total d’onces d’or récupérées sur la période LOM.
Coûts de maintien en activité (“AISC”) et AISC par once d’or
L’AISC reflète toutes les dépenses nécessaires pour produire une once d’or à partir de l’exploitation. L’AISC indiqué dans l’EEP comprend les coûts totaux en espèces, les investissements de maintien et les coûts de fermeture. L’AISC par once est calculé comme l’AISC divisé par le nombre total d’onces d’or récupérées dans le cadre du LOM.
Personnes qualifiées
M. Louis Martin, géologue (OGQ 0364), consultant de First Mining, est une ” personne qualifiée ” aux fins du Règlement 43-101, et il a examiné et approuvé les données scientifiques et techniques contenues dans le présent communiqué de presse.
À propos de First Mining Gold Corp.
First Mining est un promoteur aurifère qui fait avancer deux des plus grands projets aurifères au Canada, le projet aurifère Springpole dans le nord-ouest de l’Ontario, où nous avons commencé une étude de faisabilité et où les activités d’obtention de permis sont en cours avec un projet d’étude d’impact environnemental (“EIS”) pour le projet publié en juin 2022, et le projet Duparquet au Québec, un projet de développement au stade de l’EEP situé sur la zone de faille Destor-Porcupine dans la région prolifique de l’Abitibi. First Mining possède également le projet aurifère Cameron en Ontario et un portefeuille de projets aurifères, notamment le projet aurifère Pickle Crow (en cours de développement en partenariat avec Auteco Minerals Ltd.), le projet aurifère Hope Brook (en cours de développement en partenariat avec Big Ridge Gold Corp.), ainsi qu’une participation importante dans Treasury Metals Inc.
First Mining a été créée en 2015 par M. Keith Neumeyer, président fondateur et PDG de First Majestic Silver Corp.
AU NOM DE FIRST MINING GOLD CORP.
Daniel W. Wilton
Directeur général et administrateur
Pour plus d’informations, veuillez contacter
Numéro gratuit : 1 844 306 8827 | Courriel : info@firstmininggold.com
Paul Morris | Directeur, Relations avec les investisseurs | Email : paul@firstmininggold.com
Mise en garde concernant les déclarations prospectives
Le présent communiqué de presse contient certaines « informations prospectives » et « déclarations prospectives » (collectivement « déclarations prospectives ») au sens de la législation canadienne et américaine applicable en matière de valeurs mobilières, y compris la loi américaine Private Securities Litigation Reform Act de 1995. Ces déclarations prospectives sont faites à la date du présent communiqué de presse. Les déclarations prospectives sont souvent, mais pas toujours, identifiées par des mots tels que « s’attendre à », « anticiper », « croire », « planifier », « projeter », « avoir l’intention de », « estimer », « envisager », « potentiel », « possible », « stratégie », « buts », « opportunités », « objectifs », ou des variations de ces mots, ou indiquant que certaines déclarations prospectives sont susceptibles d’avoir une incidence sur les résultats de l’entreprise, ou des variations de ces termes, ou déclarant que certaines actions, événements ou résultats « peuvent », « pourraient », « seraient », « pourraient » ou « seront » pris, réalisés ou atteints, ou la forme négative de ces termes et expressions similaires Les déclarations prospectives contenues dans le présent communiqué de presse comprennent, sans s’y limiter, des déclarations relatives à : (i) les résultats de l’EEP ; (ii) le potentiel économique et les mérites du projet ; (iii) la quantité et la teneur estimées des ressources minérales du projet ; (iv) l’EEP représentant une option de développement viable pour le projet ; (v) la construction d’une mine au projet ; (vi) le projet étant l’un des projets de développement les plus significatifs au Canada ; (vii) les estimations des dépenses en capital et des coûts d’exploitation pour le projet ; (viii) le fait que le projet est l’un des projets de développement les plus significatifs au Canada ; (vii) les estimations des coûts d’investissement et d’exploitation ; (viii) le montant estimé de la production future du projet ; (ix) les estimations de la durée de vie de la mine et les rendements économiques du projet ; (x) les avantages environnementaux du projet ; (xi) les possibilités d’amélioration du projet ; et (xii) le moment du dépôt d’un rapport technique pour l’ÉÉP sur SEDAR+.
Les énoncés prospectifs contenus dans ce communiqué de presse se rapportent à des événements futurs ou à des performances futures et reflètent les estimations, prédictions, attentes ou croyances actuelles concernant des événements futurs. Tous les énoncés prospectifs sont fondés sur les croyances actuelles de First Mining ou de ses consultants, ainsi que sur diverses hypothèses qu’ils ont formulées et sur l’information dont ils disposent actuellement. Il n’y a aucune garantie que ces déclarations se révèlent exactes, et les résultats réels et les événements futurs pourraient différer matériellement de ceux anticipés dans ces déclarations. Les déclarations prospectives reflètent les convictions, les opinions et les projections à la date à laquelle elles sont faites et reposent sur un certain nombre d’hypothèses et d’estimations qui, bien que considérées comme raisonnables par les parties concernées, sont intrinsèquement soumises à d’importantes incertitudes et éventualités commerciales, économiques, concurrentielles, politiques et sociales. Ces facteurs comprennent, sans s’y limiter, le fait que les activités, les opérations et la situation financière de la société puissent être matériellement affectées par l’apparition d’épidémies, de pandémies ou d’autres crises sanitaires, telles que le COVID-19, et par les réactions des acteurs gouvernementaux et privés à de telles épidémies ; les risques pour la santé et la sécurité des employés résultant de l’apparition d’épidémies, de pandémies ou d’autres crises sanitaires, telles que le COVID-19, qui peuvent entraîner un ralentissement ou une suspension temporaire des opérations dans tout ou partie des propriétés minières de la société ainsi qu’à son siège social ; les fluctuations des prix au comptant et à terme de l’or, de l’argent, des métaux de base ou de certaines autres matières premières ; les fluctuations des marchés des devises (telles que le dollar canadien par rapport au dollar américain) ; les fluctuations des taux d’intérêt et des taux de change ; les fluctuations des taux d’intérêt et des taux de change ; les fluctuations des taux d’intérêt et des taux de change.S. ) ; l’évolution des gouvernements nationaux et locaux, de la législation, de la fiscalité, des contrôles, des réglementations et des développements politiques ou économiques ; les risques et dangers associés aux activités d’exploration, de développement et d’exploitation minière (y compris les risques environnementaux, les accidents industriels, les formations inhabituelles ou inattendues, les pressions, les effondrements et les inondations) ; l’existence de lois et de réglementations susceptibles d’imposer des restrictions à l’exploitation minière ; les relations avec les employés ; les relations avec les communautés locales, les populations autochtones et les autres parties prenantes, ainsi que leurs revendications ; la disponibilité et l’augmentation des coûts associés aux intrants miniers et à la main-d’œuvre ; la nature spéculative de l’exploration et du développement miniers ; les titres de propriété ; et les risques supplémentaires décrits dans la notice annuelle de la société pour l’exercice clos le 31 décembre 2022, déposée auprès des autorités canadiennes de réglementation des valeurs mobilières sous le profil SEDAR+ de la société à l’adresse suivante : www.sedarplus.ca, et dans le rapport annuel de la société sur le formulaire 40-F déposé auprès de la SEC sur EDGAR.
First Mining met en garde contre le fait que la liste des facteurs susceptibles d’affecter les résultats futurs n’est pas exhaustive. Lorsqu’ils s’appuient sur nos énoncés prospectifs pour prendre des décisions concernant First Mining, les investisseurs et les autres personnes devraient examiner attentivement les facteurs susmentionnés ainsi que d’autres incertitudes et événements potentiels. First Mining ne s’engage pas à mettre à jour les déclarations prospectives, qu’elles soient écrites ou orales, qui peuvent être faites de temps à autre par la société ou en son nom, sauf si la loi l’exige.
Avertissement aux investisseurs américains
La société est un “émetteur privé étranger” au sens de la règle 3b-4 du United States Securities Exchange Act de 1934, tel que modifié, et peut se prévaloir du régime d’information multinational Canada-États-Unis. Elle est donc autorisée à préparer les informations techniques contenues dans le présent document conformément aux exigences des lois sur les valeurs mobilières en vigueur au Canada, qui diffèrent des exigences des lois sur les valeurs mobilières actuellement en vigueur aux États-Unis. En conséquence, les informations concernant les gisements minéraux présentées ici peuvent ne pas être comparables aux informations rendues publiques par les sociétés qui publient leurs rapports conformément aux normes américaines.
Les informations techniques contenues dans ce communiqué de presse n’ont pas été préparées conformément aux exigences des lois sur les valeurs mobilières des États-Unis et utilisent des termes conformes aux normes de déclaration du Canada, certaines estimations étant préparées conformément au règlement 43-101.
Le règlement 43-101 est une règle élaborée par les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) qui établit des normes pour toutes les informations scientifiques et techniques communiquées au public par un émetteur au sujet de ses projets miniers importants.